Julia Belova
Portrait
Formation
Julia Belova a commencé ses études de piano à l’âge de six ans, dans une petite ville de Sibérie, près du Mont Oural.
Très jeune, elle décide de partir afin de poursuivre ses études musicales au Conservatoire National Supérieur Moussorsky dans lequel elle obtiendra, quelques années plus tard, le diplôme de Professeur d’Enseignement Supérieur ainsi que le titre de Pianiste- Concertiste. Elle y deviendra, par la suite, Docteur en Art Musical.
De 2001 à 2004, elle perfectionne son art musical en Allemagne, puis à Paris et à Moscou en collaborant avec des virtuoses tels que Brigitte Engerer et Alexeï Nasedkin.
Carrière internationale
De Paris à Baku, elle poursuit sa carrière internationale en donnant des récitals dans de nombreuses capitales européennes telles que Paris, Bruxelles ou encore Genève.
Invitée, en tant que soliste, par les Orchestres Philharmoniques de Prague, de Belgrade et de Luxembourg. Elle jouera également au Luxembourg dans des formations de Musique de chambre aux côtés de solistes de l’Orchestre Philarmonique de Luxembourg: Ilan Schneider (Alto) , Aleksandr Khramouchin (violoncelle), Na Li ( violon)
L’artiste contemporaine
Depuis quelques années, un partenariat culturel avec la Banque de Luxembourg a également donné lieu à une production discographique importante parmi laquelle Julia Belova est allée à la rencontre de femmes compositrices, avec enthousiasme et passion. Elle s’est également attelée à la recherche d’œuvres accessibles à un public néophyte afin de désacraliser la musique classique qui devient ainsi le langage de tous.
D’autre part, elle s’inscrit dans une démarche caritative en offrant des concerts de solidarité pour des associations comme « Action Solidarité Tiers Monde », « La Croix- Rouge Luxembourgeoise » et « Bhola’s Children Foundation » ainsi que « Femmes en détresse a.s.b.l ».
Dernièrement, sa curiosité naturelle l’a menée à découvrir d’autres courants musicaux complexes et interactifs. Ainsi, aujourd’hui, Julia Belova se produit dans plusieurs formations de Jazz au Luxembourg cautionnant ainsi l’enthousiaste Duke Ellington : « Le Jazz, c’est toute la musique ! ». Cette même curiosité l’avait poussée à enregistrer en 2010, la bande son du film « Für immer und ewig – Grete und Georg Trakl », une production internationale.
Elle compose également depuis peu, dans un style singulier, aux confins de ses origines slaves et de ses rencontres musicales multiculturelles : un univers pluriel où se déclinent styles et harmonies pianistiques d’origines diverses et fortes.
